Type d'événement: Danse

Après Omma (20·21), le danseur et chorégraphe Josef Nadj poursuit l’aventure en créant Full Moon avec sept danseurs originaires d’Afrique déjà présents dans son spectacle précédent. En convoquant la figure de la marionnette et la force significative du masque, présent dans les cultures africaines, il incite les interprètes à puiser dans leurs mémoires enfouies, afin de se confronter aux rythmes et énergies de la terre, de la nature et des traditions ancestrales. La pièce se plonge également dans les racines du jazz afro-américain, rendant hommage à travers la danse à des artistes comme Charles Mingus, Cecil Taylor, Anthony Braxton et l’Art Ensemble of Chicago. Un spectacle poétique et passionné qui révèle la composante dansée du jazz.

Après Omma (20·21), le danseur et chorégraphe Josef Nadj poursuit l’aventure en créant Full Moon avec sept danseurs originaires d’Afrique déjà présents dans son spectacle précédent. En convoquant la figure de la marionnette et la force significative du masque, présent dans les cultures africaines, il incite les interprètes à puiser dans leurs mémoires enfouies, afin de se confronter aux rythmes et énergies de la terre, de la nature et des traditions ancestrales. La pièce se plonge également dans les racines du jazz afro-américain, rendant hommage à travers la danse à des artistes comme Charles Mingus, Cecil Taylor, Anthony Braxton et l’Art Ensemble of Chicago. Un spectacle poétique et passionné qui révèle la composante dansée du jazz.

Les Théâtres de la Ville continuent leur collaboration avec le chorégraphe Serge Aimé Coulibaly et présentent cette saison les trois pièces lauréates de son concours biannuel Africa Simply the Best, qui récompense les meilleures créations africaines en danse chorégraphique solo. Le public luxembourgeois a ainsi l’occasion de voir la pièce poignante La Quatrième, du danseur et chorégraphe togolais Koffi-Kegou Afiadegnigban, un solo intime qui explore la question de la polygamie, une réalité profonde dans de nombreuses sociétés africaines. Le deuxième lauréat est Aziz Zoundi, avec sa pièce Chute perpétuelle, un solo introspectif sur le deuil. La pièce Banbali 100 fin de l’artiste malienne Kadidja Tiemanta, thématisant la résilience face à la maladie, clôture cette soirée placée sous le signe de la créativité, de l’innovation et de l’originalité de la culture panafricaine.

Les Théâtres de la Ville continuent leur collaboration avec le chorégraphe Serge Aimé Coulibaly et présentent cette saison les trois pièces lauréates de son concours biannuel Africa Simply the Best, qui récompense les meilleures créations africaines en danse chorégraphique solo. Le public luxembourgeois a ainsi l’occasion de voir la pièce poignante La Quatrième, du danseur et chorégraphe togolais Koffi-Kegou Afiadegnigban, un solo intime qui explore la question de la polygamie, une réalité profonde dans de nombreuses sociétés africaines. Le deuxième lauréat est Aziz Zoundi, avec sa pièce Chute perpétuelle, un solo introspectif sur le deuil. La pièce Banbali 100 fin de l’artiste malienne Kadidja Tiemanta, thématisant la résilience face à la maladie, clôture cette soirée placée sous le signe de la créativité, de l’innovation et de l’originalité de la culture panafricaine.